Le prévôt, le doyen et le portier de Saint-Thomas de Strasbourg, délégués par l'évêque de Mayence, se prononcent au sujet de la dîme assise sur quatre manses à Dinsheim, que se disputent le chapitre de Haslach et Jean, curé de Dinsheim. La dîme est attribuée au chapitre ; le curé percevra pendant 12 ans les revenus de ces manses et reversera chaque année une partie de leur production céréalière et viticole au chapitre.
Le prévôt, le doyen et le portier de Saint-Thomas de Strasbourg, délégués par l'évêque de Mayence, se prononcent au sujet de la dîme assise sur quatre manses à Dinsheim, que se disputent le chapitre de Haslach et le curé de Dinsheim.
L'acte énumère les propriétaires des champs constituant les manses.
L’évêque de Strasbourg Berthold Ier de Teck confirme et vidime l’arbitrage rendu en 1220 par son prédécesseur Henri II de Veringen dans le conflit opposant le chapitre de Saint-Thomas de Strasbourg d'une part, et Jean, curé de Saint-André, et le patron de l’église Burchard, écoutète d'Obernai, d'autre part, au sujet de la dîme de l'église Sainte-Aurélie de Strasbourg : le chapitre de Saint-Thomas percevra l’ensemble de la dîme et en remettra chaque année soixante quarts de blé au prêtre de Saint-André et à l’écoutète. [1220-1244]
L’acte énumère un certain nombre de manses sur lesquels le prêtre de Saint-André percevra directement la dîme.