Henri II de Veringen, évêque de Strasbourg, attribue la moitié des dîmes de Boofzheim à Hedwige, abbesse de Saint-Etienne de Strasbourg, plutôt qu'à Herbordus, curé de Boofzheim, qui les revendiquait lui aussi.
Le custode du grand chapitre de Strasbourg donne raison à l'abbaye de Saint-Etienne dans le litige qui l'opposait à Henri fils de Marsilius, qui prétendait devoir un cens annuel inférieur à 6 sous pour ses terres de Luitpoldsheim.
Le pape Innocent IV, sur la demande du comte de Grüningen, parent de l'abbesse, permet à l'abbaye Saint-Etienne de Strasbourg de disposer librement de ses bénéfices et surtout de ses quatre prébendes sacerdotales.