Erpho, abbé de Neuwiller, règle la querelle opposant l'abbaye de Neuwiller aux chanoines de Saint-Adelphe de Neuwiller au sujet d'une dîme à Walesheim.
En échange des dîmes de Walesheim, l'abbaye de Neuwiller augmentera chaque année le cens qu'elle doit à la collégiale Saint-Adelphe, assis sur le bien de Waldowisheim, de cinq sols perçus sur le manse de Wachenheim.
Erpho, abbé de Neuviller, concède en bail deux arpents de vignes, situés dans la terre de Wolfkreste, à Frédéric, monnayeur, et à sa femme Cunrze Bockersin.
Les vignes ont été achetées à Gundelbert, puis concédées une première fois à Bennon et Gertrude de Virdenheim.
Erpho, abbé de Neuwiller, procède à un échange avec Otton, sous-avoué de Neuwiller : Otton cède les dîmes de Schnersheim à l'abbaye en échange d'une rente de cinq sous moins un denier, plus une rente de quatre mesures de vin, affectée sur des terres près de Neuwiller, qu'il devait auparavant à l'abbaye.
Garsilius et sa sœur Richardis donnent à l'abbaye de Neuwiller un manse situé à Duntzenheim.
Richardis recevra la terre en fief, des mains de l'abbé, et donnera 10 sacs de blé par an. Après la mort des donateurs la terre appartiendra à l'abbaye, qui aura à célébrer un anniversaire pour eux et leurs proches le 4 des calendes de décembre et recevra cinq sols du manse.
Erpho, abbé de Neuwiller, concède en bail plusieurs arpents de vigne situés à Wolfkrefdte à Otton, Gundelbert, Nendungus, Gerbodon, Meingoton et Druthkind.
Erpho, abbé de Neuviller, remet à Hugues X de Dabo, avoué de l'abbaye, des prés situés à Dossenheim, près du château du Warthenberg, contre un cens annuel.
L'abbé a dans un premier temps refusé la demande du comte ; les fermiers de l'abbaye lui demandent de l’accepter à condition d'être libérés de la redevance due annuellement à l'avoué pour faire paître leur bétail. L'abbé ajoute comme conditions que le comte ne détourne pas le cours de la Zinsel ni n’empiète sur le droit de pêche et les moulins.
Erpho, abbé de Neuviller, transfère à Nendung, abbé de Neubourg, la propriété de Mulinbach que les héritiers du comte Théoderic avaient cédée à Neuwiller, contre une redevance annuelle de quatre onces.
L'antipape Victor IV confirme le compromis passé entre Erpho, abbé de Saint-Pierre à Neuwiller, et Philippe, économe de la collégiale Sainte-Adelphe, qui règle les rapports entre l'abbaye Saint-Pierre et la collégiale.
Erpho, abbé de Neuwiller, confirme la donation faite par Théodoric et sa sœur Petersa, ministériaux de l'abbaye, qui cèdent à l'église de Lixheim un bien situé à Ruckersheim ; les frères de Lixheim devront un cens annuel à l'abbaye de Neuwiller.
L'évêque de Strasbourg Gebhard cède à Erbo, abbé de Saint-Léonard, les dîmes que l'abbaye devait au grand chapitre de Strasbourg pour les terres qu'elle possède à Boersch.
En retour, l'abbaye Saint-Léonard devra chaque année 20 livres de cire aux prévôts de Wickersheim et Boersch.
Le roi des Romains Henri V concède à l'abbaye de Walbourg trois manses de terres, dont deux sont situés entre les ruisseaux de Crewenbach et Eberbach, l'autre près du couvent même, ainsi que les droits d'usage dans la forêt de Haguenau.
Le pape Pascal II assure l'abbé de Walbourg Bertulf qu'il prend sous sa protection l'abbaye et confirme ses droits et privilèges.