Coutumier de la cour seigneuriale de Boersch.
Henri, prévôt du chapitre cathédral de Strasbourg, cède à Wernher Vitulus et à son fils Conrad, ministériaux de l'évêché, un manse à Lampertheim, pour qu'ils le cultivent leur vie durant.
L'évêque de Strasbourg Henri II de Veringen afferme un fonds de terre, appelé Gebreyte, aux hommes de l'Eglise de Strasbourg à Rouffach.
Le chapitre cathédral de Strasbourg cède les dîmes qu'il perçoit sur ses biens de Soultzmatt au burgrave Théoderic et à ses frères Frédéric et Burchard, contre 6 charretées de vin rouge à présenter chaque année à Deinheim.
Henri II de Thoune, évêque de Bâle, Conrad, doyen du chapitre et Henri, écolâtre, font connaître l'accord établi entre le chapitre cathédral de Strasbourg et les frères Egelolphe et Anselme de Ribeaupierre au sujet du cens que ces derniers doivent au chapitre pour leurs possessions de Sigolsheim et qui consiste chaque année en trois porcs, quatre vases de vin et des quarts de froment.
Le chapitre cathédral de Strasbourg afferme à Walther, orfèvre, un terrain près du domaine de dame Irmengarde, contre un cens annuel de 8 onces et 2 chapons.
Le chapitre cathédral de Strasbourg afferme à Rodolphe Blumerdrost un terrain près du domaine de dame Irmengarde, contre un cens annuel de 8 onces et 2 chapons.
Berthold Ier de Teck, évêque de Strasbourg, notifie la fin de la querelle entre Rheinard, prévôt du grand chapitre de Strasbourg, et les chevaliers de Bischoffsheim au sujet de l'avouerie de l'abbaye Saint-Léonard : les sires de Bischoffsheim renoncent à l'avouerie, à la redevance qui y était attachée, ainsi qu'à la garde des vignes de Boersch, en échange de quatre arpents de vigne près de Bischoffsheim et d'un bien près de Kriegsheim que leur donne le prévôt du grand chapitre.
Le chapitre cathédral de Strasbourg afferme, pour une durée de 9 ans, une ferme à Schiltigheim aux frères Hugues et Volpero.
Le chapitre cathédral de Strasbourg concède à Hermann d'Errenberg, portier du chapitre, et à son neveu Jean de Lapide, chanoine, des biens situés à Wolxheim et Uttenheim, contre une rente annuelle de 40 sacs de céréales.
Pierre, évêque d'Albano, et Hugues, abbé de Saint-Jean de Sens, font savoir que Jean Albérici, Saxon, bourgeois de Rome, atteste avoir reçu de Conrad, custode de Saint-Thomas-de-Strasbourg, la somme de 129 marcs d'argent que lui devaient l'évêque et le chapitre cathédral de Strasbourg.
Le chapitre cathédral de Strasbourg décide qu'en cas de vacance de l'office de cellerier, les offices de boulanger et de bouteiller lui reviendront. Si l'office de boulanger se trouve vacant avant celui du cellerier, il reviendra au chapitre, qui paiera une pension annuelle de 20 quarts de céréales au cellerier actuel, le prévôt Frédéric, en compensation.